Malgré sa force et sa robustesse, le cheval peut être enclin à de nombreuses maladies, notamment la grippe. Bien que cette affection respiratoire ne soit pas mortelle, elle ne doit pas être prise à la légère. En effet, elle est très contagieuse, et peut vite avoir des répercussions importantes sur l’ensemble de l’écurie. Voici les principaux signes associés à la grippe équine et les traitements à prendre en compte.

Les signes alarmants

Il existe certaines indications qui vous permettent de constater si votre cheval est atteint de l’affection respiratoire. Vous pouvez d’abord constater qu’il tousse occasionnellement ou de manière continue. Cette toux peut être douloureuse selon sa gravité, et peut aussi être sèche. Durant les premiers jours, vous pouvez aussi remarquer un écoulement nasal fluide, suivi d’une forte fièvre, du manque d’appétit et de l’abattement chez votre animal. Sa respiration peut même devenir de plus en plus difficile. Une fois ces signes réunis, il est évident que votre cheval soit atteint de la grippe équine. Pour le bien-être de votre animal cependant, il est toujours conseillé de consulter un vétérinaire pour un meilleur diagnostic médical et pour un traitement rapide.

Les méthodes curatives

Pour éviter l’aggravation de la maladie et la contagion sur la totalité de chevaux, il est d’abord nécessaire d’isoler le cheval malade des autres groupes. Vous devez cependant le mettre dans un environnement sain et bien aéré, à l’abri de la pluie et du courant d’air. Quant aux médicaments, il n’existe pas de médoc spécifique pour les maladies d’origine virale, mais les vétérinaires proposent toujours l’administration d’antibiotique forte, de l’anti-inflammatoire et même de la vitamine C. Ceci permet de baisser rapidement la fièvre, de faciliter la respiration et d’éviter les autres complications. Le cheval doit aussi être bien lavé quotidienne avec de l’eau chaude, notamment ses bottes. Jusqu’à ce qu’il reprenne entièrement la force, vous devez éviter de lui faire subir trop de travail, et lui donner au contraire un temps de convalescence plus ou égal à 10 jours.

Les méthodes préventives

Pour mieux prévenir la grippe équine, vous devez faire vacciner votre cheval. Les protocoles cliniques exigent généralement 3 types de vaccins, dont principalement le primo-vaccin vers l’âge de 4 à 6 mois, le vaccin avant la saillie suivie d’un rappel et le vaccin annuel contre la grippe et le tétanos. Ces vaccinations lui permettent d’avoir une bonne immunité contre les maladies. N’hésitez pas aussi à faire une consultation vétérinaire régulière pour assurer le bien-être de votre animal.

De nombreuses personnes apprécient la compagnie d’un perroquet. Mais comme tous les oiseaux, le perroquet est un animal sensible qui a des besoins particuliers. Ce guide vous explique comment prendre soin d’un perroquet.

Créer un habitat confortable et propre

Le perroquet idéalement doit être mis dans une cage. Il ne s’agit pas d’enfermer l’animal, mais plutôt de le protéger des différents risques domestiques (heurts avec d’autres animaux, les chutes, etc.). Cette cage doit être suffisamment grande pour permettre au perroquet de se déplacer librement ou de grimper sur les barreaux.
Pour préserver la propreté de la cage, la meilleure solution est de tapisser le fond de celle-ci d’une liasse de journaux ou de papier absorbant. Ainsi, il sera beaucoup plus facile de nettoyer la cage. Par ailleurs, comme le perroquet a tendance à faire beaucoup de saleté, le nettoyage doit se faire régulièrement, au moins une fois par jour.

Nourrir le perroquet

Pour rester en bonne santé, un perroquet a besoin d’eau propre et de nourriture fraiche. Son abreuvoir et sa mangeoire doivent par conséquent être réapprovisionnés chaque jour, après avoir été bien nettoyés.
En ce qui concerne le régime du perroquet, celui-ci doit être le plus varié possible. Il est faux de croire qu’un perroquet peut se suffire de graines. Bien au contraire, l’animal a aussi besoin de légumes, de légumineuses et de fruits.

Stimuler le perroquet

Les personnes qui adoptent un perroquet ont généralement envie d’entendre celui-ci parler. Il faut savoir que chez le perroquet, il s’agit plus d’un réflexe d’imitation qu’autre chose. C’est à force d’entendre des gens parler que le perroquet se met à répéter certains mots qu’il a entendus. Mais pour arriver à ce stade, il faut lui apprendre à parler, grâce a de courtes séances (pas plus de 10 minutes) et à des mots très simples comme « sommeil », « manger », « jouer », « voler », etc.
Parmi les espèces les plus intelligentes chez les oiseaux, il est aussi essentiel de stimuler mentalement le perroquet. En plus de lui apprendre à parler, il faut penser à installer dans sa cage de petits jouets qui ont pour but d’éveiller sa curiosité.

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